Un poste de professeur.e en littérature canadienne à UBC : une nouvelle aventure pour Canadian Literature

En 2019, la revue Canadian Literature a célébré son 60e anniversaire… et le Département de langue et de littératures anglaises (Department of English Language and Literatures) a récemment annoncé un nouveau poste de professeur.e agrégé.e/titulaire en littérature canadienne. Mais quel lien entre les deux?

Depuis son inauguration, Canadian Literature a toujours eu pour domicile administratif la Faculté des Arts et, à sa barre, un ou une rédacteur.trice en chef dont le département d’affiliation principal était celui d’études anglaises. Comme le mandat de notre redoutable rédactrice en chef actuelle, Laura Moss, arrive à sa fin, ce n’est pas une mince affaire de trouver la personne qui prendra la relève! De plus, au cours des prochaines années, la revue devra adopter quelques changements pour mieux refléter notre société contemporaine, où le libre accès à l’information est de plus en plus de mise. Ainsi, entre autres, Canadian Literature devra adopter un format en libre accès afin de se conformer aux règlements de financement du CRSH au cours des 3 prochaines années. Outre les tâches éditoriales habituelles — et n’oublions pas tout le travail qui se passe dans les coulisses — le nouveau ou la nouvelle rédacteur.trice en chef devra diriger la revue tout au long de cette transition, et collaborer avec le reste de l’équipe éditoriale afin d’explorer les nouvelles opportunités de diffusion qui s’offrent à nous. Pour reprendre les mots de Bilbo Baggins, « nous partons à l’aventure! »

Restez donc à l’affût, en visitant notre site web, des développements à venir… et, en attendant, pourquoi ne pas contribuer à notre prochain numéro spécial « Emerging Scholars, Redux » ? Les choses ne changent bien évidemment pas seulement à Canadian Literature… nous assistons actuellement à de grands bouleversements, à l’échelle mondiale, qui affectent notre société, nos idéologies, nos vies. Comment les concilier avec les littératures et les arts? Comment nos recherches contribuent-elles à envisager, à créer un meilleur futur, une société plus juste?

—Sarah Henzi, rédactrice adjointe