Literary Journalism before Confederation
Literary Underground: Little Magazines in Canada
Literary Versions of Emily Carr
Literature and Mass Media
Literature, Healing, and the Transformational Imaginary: Thoughts on Jo-Ann Episkenew’s Taking Back Our Spirits: Indigenous Literature, Public Policy, and Healing
The original live forum on Jo-Ann Episkenew’s Taking Back Our Spirits: Indigenous Literature, Public Policy, and Healing brought together the author of only the second monograph by an Indigenous literary critic in Canada with three critics, who discussed her recently published work in front of members of the Canadian Association of Commonwealth Literature and Language Studies (CACLALS) and the Association of Bibliotherapy and Applied Literatures (IABAL). Following the live event, the panelists submitted written versions of their contributions to the convenors of the forum, allowing all centrally involved to reflect further on the thoughts of the other panelists and of those in the audience who offered further ideas.
Litterature de Quebec; Langue et Identité
Littérature et politique au Québec pendant la première moitié du vingtième siècle: Prolégomènes
Cet article pose la question des rapports entre le modernisme et la « vieille gauche » au Québec au cours de la première moitié du XXe siècle en passant en revue un certain nombre d’écrivains considérés aujourd’hui comme des pionniers du modernisme : les « exotiques » (Paul Morin, René Chopin, Guillaume Lahaise et Marcel Dugas), Louis Dantin, quelques écrivains des années trente, les Automatistes et, finalement, Jacques Ferron. S’il reste beaucoup de recherches à faire dans ce domaine, car les renseignements manquent souvent à ce sujet – sans doute à cause de l’opprobre qui pesait sur la gauche –, il appert que, à un moment donné de leur vie, la plupart de ces auteurs témoignent d’un penchant vers la gauche. En outre, la défense d’une littérature moderniste, dans le contexte québécois de l’époque, constituait de facto un acte anti-traditionaliste et anti-Église, n’en déplaise à l’habitus de l’art pour l’art que Pierre Bourdieu identifie avec l’avant-garde moderniste européen.